Little Big Bang aide Forvia à affûter la raison d’être et le discours de sa filiale Materi’Act

Créée en 2022, Materi'Act n'attend pas le nombre des années pour bousculer les préjugés et les habitudes du secteur automobile. Pour l'accompagner dans cette aventure, elle a sélectionné Little Big Bang afin de revoir en profondeur sa plateforme de marque.

En 2022, l’équipementier automobile Forvia (150 000 salariés) crée la filiale Materi’Act pour l’aider à atteindre ses objectifs de décarbonation SBTi. L’objectif étant de développer des
matériaux recyclés et biosourcés qui puissent servir d’alternatives au plastique vierge qui est encore très majoritairement utilisé dans les habitacles de nos voitures.

Deux ans plus tard, la jeune pousse s’appuie sur une équipe d’une centaine de collaborateurs qui est parvenue à développer des matériaux à base de déchets plastiques, de chanvre, de coquilles d’huîtres et de fibre d’ananas. Des matériaux que l’on retrouve déjà dans plus de 10 millions de véhicules dont la toute nouvelle R5.

Little Big Bang a l’honneur d’accompagner cette belle marque en l’aidant à affiner l’expression de sa raison d’être et à trouver la tonalité juste entre disruption et prise en en compte de la réalité des industriels. Au programme : ateliers d’intelligence collective, charte éditoriale et refonte du site web corporate en partenariat avec l’agence Hiboost.

Polepharma est une association interprofessionnelle qui structure et représente la filière biopharmaceutique française. Little Big Bang a été missionnée pour l’accompagner dans sa réflexion stratégique. Intégration culturelle, approche appréciative et feuille de route partagée sont au programme.
La Maison de la Mutualité a accueilli le 16 avril dernier le 2e congrès de la Communauté des Entreprises à Mission. Au programme, de nombreux témoignages d’entreprises ayant sauté le pas, d’économistes, de chercheurs ou encore de personnalités politiques qui se sont évertués à nous expliquer que le temps est désormais venu de faire passer la planète et les gens avant l’argent. Mais tous ces appels à s’affranchir de la logique actionnariale ne font-ils pas, de par leur naïveté, plus de mal que de bien ?
Avant d’enseigner à Harvard et d’écrire un bestseller sur l’art de manager, Hubert Joly s’est fait connaître en redressant Best Buy, le géant américain des produits de consommation électronique. Un fait d’armes qu’il n’aurait jamais réussi sans l’aide de conseillers avisés : c’est en lui expliquant leur métier et en lui racontant ce que cela donnait lorsqu’ils avaient l’opportunité de se montrer sous leur meilleur jour que des dizaines de milliers de salariés lui ont montré la voie.
Tandis que les "missions à impact" fleurissent un peu partout, chacun se félicite de voir tant d'entreprises faire leur mue et affirmer leur attachement au bien commun. Ce n'est rien moins que l'avènement d'un nouveau monde qui nous est promis où profits juteux et causes inspirantes progresseraient de concert, presque main dans la main. On y croit ?